Soeurs d’armes

Deux jeunes françaises, Kenza et Yaël, rejoignent une brigade internationale partie se battre aux côtés des combattantes Kurdes. Leur quête croise celle de Zara, une rescapée Yézidie. Issues de cultures très différentes mais profondément solidaires, ces Sœurs d’Armes pansent leurs blessures en découvrant leur force et la peur qu’elles inspirent à leurs adversaires.

Un film de Caroline Fourest

Avec Dilan Gwyn, Amira Casar, Camélia Jordana, Maya Sansa, Esther Garrel, Nanna Blondell, Korkmaz Arslan, Noush Skaugen, Mark Ryder, Youssef Douazou, Filip Crine, Pascal Greggory, Roda Canioglu, Darina Al Joundi, Shaniaz Hama Ali, Roj Hajo, Mouafaq Rushdie

La Bande Annonce

Parcs de la Paix. Le dernier rêve de Nelson Mandela

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C’est l’histoire d’une utopie à rebours de notre époque.

Dans un monde obsédé à l’idée d’ériger des frontières, ce film vous emmène à la rencontre de Parcs où le fait de les abattre protège : la nature, les hommes, et même réconcilie les Nations.

Grâce à des Parcs sans frontières reliant des pays voisins. Des traits d’union dont rêvait Nelson Mandela, parrain de la Fondation des Parcs de la paix jusqu’à sa mort.

Allant de quelques hectares symboliques à d’immenses réserves transfrontalières, il existe actuellement 227 projets de Parcs de la Paix. Soixante ont déjà été réalisés, la moitié en Afrique, où ils permettent de cicatriser d’anciens conflits mais aussi de stimuler l’économie des pays frontaliers grâce à l’éco-tourisme.

Le film explore le Parc transfrontalier du Grand Limpopo reliant l’Afrique du Sud au Zimbabwe et au Mozambique, où une ancienne zone de chasse minée a été transformée en Parc. Un ancien soldat y a enlevé les mines qu’il avait posé dans le sol du temps de la guerre et vit maintenant grâce au Parc, comme garde forestier.

Le voyage se poursuit en Amérique latine, à la rencontre du Parc de la Amistad. Un parc de l’amitié unissant le Costa-Rica au Panama, deux pays ayant aboli leurs armées. L’ancien président du Costa-Rica, Oscar Arias, Prix Nobel de la Paix, nous en parle.

Le film poursuit en explorant un projet fou, imaginé au Moyen-Orient, par des écologistes Jordaniens et Israéliens, mais aussi des élus locaux, qui rêvent de transformer un îlot jouxtant le Jourdain en Parc de la Paix. Des civils peuvent déjà y ouvrir les barrières militaires… Le film se termine à la frontière entre la Corée du Sud et la Corée du Nord.

Dans un souffle, ce film nous permet d’apercevoir un avenir utopique mais concret, où l’écologie guide déjà la diplomatie, grâce à la beauté d’un monde partagé.

La laïcité, jusqu’où ? (Cahiers de doléances IX)

Certains en parlent et lui font dire ce qu’elle ne dit pas. Certains parlent de laïcité « positive », d’autres « excluante ». Elus, citoyens, intellectuels s’opposent et se divisent sur le sens à lui donner.

 

Dans ce numéro de Cahier de doléance, Caroline Fourest aborde le contournement de la 1905 pour accompagner la création de lieux de cultes, la reconfessionnalisation de villes comme Saint-Denis, la question des menus séparés ou des accompagnantes scolaires, mais aussi sur la question — moins souvent posée — des établissements confessionnels sous influence intégriste, catholiques et musulmans, malgré leurs contrats avec l’Etat.

Rendez-vous à l’Observatoire de la laïcité avec son président Jean-Louis Bianco et l’un de ses membres, Patrick Kessel. Avec Jacqueline Costa-Lascoux, directrice de recherche au CNRS. Avec le maire de Saint-Denis et des militants laïques de la ville ayant fui l’islamisme en Algérie. Avec une déléguée de la FCPE favorable à ce que des mères puissent accompagner les sorties scolaires avec leur voile. Puis nous croisons les regards de députés : Christophe Caresche du PS et Christian Kert de l’UMP.

 

Homos des familles comme les autres ? (Cahiers de doléances VIII)

La famille est plurielle. Mais toutes les familles sont-elles à égalité ? Alors que la Manif pour tous appelle à « l’abolition universelle de la GPA », et qu’en France la PMA reste réservée aux couples hétérosexuels, Caroline Fourest s’intéresse à la question de l’homoparentalité et invite à faire la part des choses entre préjugés et vrai débat soulevé par les nouveaux moyens de procréation. A la rencontre de ces familles dont on débat beaucoup mais à qui on donne peu la parole. Deux couples, l’un hétéro et l’autre homo, ayant eu recours à une GPA « éthique ». A l’écoute d’une ancienne présidente du Centre gay et lesbien opposée à la GPA pour des raisons féministes. Avant de partir en Belgique, à la rencontre de l’équipe médicale d’une centre de PMA où se rendent 300 couples de Françaises par an. Avant d’aller en débattre au Parlement européen avec une députée du Front de gauche et une députée sans étiquette (ex FN).

 

Haro sur les Roms ? (Cahiers de doléances VI)

Caroline Fourest s’intéresse à la situation des Roms en France. Expulsion, stigmatisation, précarité… Régulièrement la « question rom » revient sur le devant de la scène avec son lot d’idées reçues et de contre-vérités. Mais qu’en est-il exactement ? Quelles sont leurs conditions de vie et quel accueil leur est-il réservé ?

Cahiers de doléances (LCP 2014-2015)

Une série documentaire qui plonge au cœur des questions qui dérangent, et fait remonter les doléances des Français. La crise économique qui s’enlise, les incertitudes quant à l’avenir, la défiance envers les politiques nourrissent les peurs et les fantasmes des Français. Chacun tend à se replier sur son identité, sa tribu, ses préjugés. Les élus et les élites sont démonétisés, la démocratie représentative est de plus en plus vécue comme inégalitaire.

Touche pas à mon genre ? (Cahiers de doléances V)

Caroline Fourest revient sur la polémique qui a fait trembler les écoles, celle des « ABCD de l’égalité ». Mais que s’est-il passé concrètement ? Et d’abord qu’est-ce que le genre ?

Cahiers de doléances (LCP 2014-2015)

Une série documentaire qui plonge au cœur des questions qui dérangent, et fait remonter les doléances des Français. La crise économique qui s’enlise, les incertitudes quant à l’avenir, la défiance envers les politiques nourrissent les peurs et les fantasmes des Français. Chacun tend à se replier sur son identité, sa tribu, ses préjugés. Les élus et les élites sont démonétisés, la démocratie représentative est de plus en plus vécue comme inégalitaire.

Le blasphème en danger ? (Cahiers de doléances VII)

 

Dans cet épisode-hommage à Charlie Hebdo, Caroline Fourest pose les questions qui fâchent. Faut-il continuer à provoquer ou se censurer ? Quelles sont les limites à la liberté d’expression ? Le blasphème ou l’incitation à la haine ? Les critères français ou anglo-saxons ?

Pour faire la part du vrai, du faux, du préjugé… Caroline Fourest enquête et part à la rencontre de ceux qui peuvent pour apporter des pistes de réponses :

–  explication de la loi sur la presse avec Sabrina Goldmann une avocate ayant poursuivi aussi bien Zemmour que Dieudonné,

–  mise en perspective avec un historien de la caricature : Guillaume Doizy. Mais surtout ceux qui bravent le danger s’expliquent : Ali Dilem, le célèbre caricaturiste algérien, Darina al Joundi (comédienne née au Liban), Jean-Michel Ribes du Théâtre du Rond Point (plusieurs fois menacé par des catholiques intégristes), et bien sûr Gérard Biard et Richard Malka, respectivement rédacteur en chef et avocat de CharlieHebdo.

Enfin, deux députés apportent leur éclairage : Jean-Frédéric Poisson du Parti Chrétien démocrate et Christian Bataille du Parti Socialiste.

Cahiers de doléances (LCP 2014-2015)

Une série documentaire qui plonge au cœur des questions qui dérangent, et fait remonter les doléances des Français. La crise économique qui s’enlise, les incertitudes quant à l’avenir, la défiance envers les politiques nourrissent les peurs et les fantasmes des Français. Chacun tend à se replier sur son identité, sa tribu, ses préjugés. Les élus et les élites sont démonétisés, la démocratie représentative est de plus en plus vécue comme inégalitaire.

 

Anti-Islam, la France ? (Cahiers de doléances IV)

La France serait de plus en plus « islamophobe » mais ce mot confond parfois ce qui relève effectivement du racisme anti-musulmans et ce qui relève simplement de la laïcité ou de la liberté d’expression.

Avec ce « Cahiers de doléances », Caroline Fourest fait le tri et tente d’y voir clair.

Cahiers de doléances (LCP 2014-2015)

Une série documentaire qui plonge au cœur des questions qui dérangent, et fait remonter les doléances des Français. La crise économique qui s’enlise, les incertitudes quant à l’avenir, la défiance envers les politiques nourrissent les peurs et les fantasmes des Français. Chacun tend à se replier sur son identité, sa tribu, ses préjugés. Les élus et les élites sont démonétisés, la démocratie représentative est de plus en plus vécue comme inégalitaire.

Minorités ! Deux poids, deux mesures ? (Cahiers de doléances III)

« Faut-il choisir entre commémorer la Shoah et l’esclavage ? Y-a-t-il un « deux poids, deux mesures » entre les minorités (noires, musulmanes et juives) comme l’affirment Dieudonné ou Alain Soral ? Cette semaine, Caroline Fourest s’attaque à la propagande du « deux poids, deux mesures », si fréquente sur Internet, et qui alimente un racisme anti-Juifs qui tue de nouveau en France.

Cahiers de doléances (LCP 2014-2015)

Une série documentaire qui plonge au cœur des questions qui dérangent, et fait remonter les doléances des Français. La crise économique qui s’enlise, les incertitudes quant à l’avenir, la défiance envers les politiques nourrissent les peurs et les fantasmes des Français. Chacun tend à se replier sur son identité, sa tribu, ses préjugés. Les élus et les élites sont démonétisés, la démocratie représentative est de plus en plus vécue comme inégalitaire.

Trop d’immigrés ? (Cahiers de doléances II)

« Cahiers de doléances », la série qui fâche aussi bien les racistes que les intégristes, c’est le mercredi à 21H30 sur LCP… Ce soir, un épisode émouvant, qui tord le cou aux raccourcis xénophobes.

 

Cahiers de doléances (LCP 2014-2015)

Une série documentaire qui plonge au cœur des questions qui dérangent, et fait remonter les doléances des Français. La crise économique qui s’enlise, les incertitudes quant à l’avenir, la défiance envers les politiques nourrissent les peurs et les fantasmes des Français. Chacun tend à se replier sur son identité, sa tribu, ses préjugés. Les élus et les élites sont démonétisés, la démocratie représentative est de plus en plus vécue comme inégalitaire.